samedi 25 juin 2011

Position décubitus ventral et tête surélevée



Figure 20 :
Position décubitus ventral et tête surélevée avec disposition des systèmes d'appui au niveau du
thorax, de façon à dégager l'abdomen. Le patient doit être maintenu au niveau des fesses pour
éviter qu'il ne glisse vers le bas (d'après Martin [19]).

Position pour la chirurgie de l'épaule



Figure  19 :
Position pour la chirurgie de l'épaule (d'après Martin [19]).

Position tête surélevée




Figure 18 :
Position tête surélevée.
A. Les membres inférieurs reposant sur un plan au niveau du coeur.
B. Les membres inférieurs abaissés (d'après Martin [19]).

Position semi-assise classique



Figure 17 :
Position semi-assise classique utilisée en neurochirurgie avec deux variantes dans la position de
l'étrier céphalique (d'après Martin [19]).

Position agenouillée en décubitus ventral



Figure 16 :
Position agenouillée en décubitus ventral (d'après Martin [19]).

Position dite " jack-knife ".




Figure 15 :
Position dite " jack-knife ".
A. Basse avec angulation de la table au niveau de la jonction tronc - membres inférieurs.
B. Accentuée (d'après Martin [19]).


Décubitus ventral




Figure 14 :
Décubitus ventral.
A. Bras place le long de la tête, coussins sous le thorax, tête placées sur un coussin en mousse pour prévenir la compression de l'oeil et de l'oreille.
B. Bras placés le long du corps.
C. Membres inférieurs abaissés et angulation de la table au niveau du bassin (d'après Martin
[19]).

Mauvaise installation du bras entraînant un étirement du nerf sus-scapulaire (d'après Martin [19]).

Position latérale avec angulation à différents niveaux (A, B, C) pour l'abord de la loge rénale



Figure 12 :
Position latérale avec angulation à différents niveaux (A, B, C) pour l'abord de la loge rénale. La
meilleure installation est la position C (d'après Martin [19]).

Position intermédiaire entre le décubitus ventral et le décubitus latéral




Figure 11 :
Position intermédiaire entre le décubitus ventral et le décubitus latéral. Le bras inférieur doit
être installé de façon à prévenir la compression vasculonerveuse axillaire (d'après Martin [19]).

Position intermédiaire entre décubitus latéral et décubitus dorsa



Figure 10 :
Position intermédiaire entre décubitus latéral et décubitus dorsal avec installation du bras
prévenant la compression du paquet vasculonerveux axillaire. La perception du pouls radial doit
être vérifiée (d'après Collins, ed : Principles of Anesthesiology, 3rd ed, Philadelphia, Lea and
Febiger, in press).

Décubitus latéral




Figure 9 :
Décubitus latéral avec A : les bras posés sur deux appuis-bras ou B : les bras allongés devant la face du patient. Le système de contention pour la partie inférieure doit passer au niveau des crêtes iliaques plutôt qu'au niveau de la tête fémorale (d'après Martin [19]).

Position en décubitus latéral





Figure 8 :
Position en décubitus latéral avant et après mise en place d'un billot sous le thorax, d'un coussin
sous la tête, flexion du membre inférieur sous-jacent avec un oreiller placé entre les membres
inférieurs (d'après Martin [19]).

Installation sur table orthopédique





Figure 7 :
Installation sur table orthopédique. Risque de compression du périnée avec lésion du nerf honteux (d'après Martin [19]).

Lésions du nerf cubital du coude





Figure 6 :
Lésions du nerf cubital du coude. La colonne A montre les positions favorisant le risque de compressions nerveuses. La colonne B indique les positions prévenant ce risque (d'après Martin [19]).

Position originale décrite par Tredelenburg



Figure 5 :
A. Position originale décrite par Tredelenburg avec flexion au niveau des genoux pour la contention du patient sur la table.
B. Position plus habituellement utilisée avec inclinaison de 10 à 20° et contention par des épaulières (d'après Martin [19]).


Position gynécologique, jambes tendues




Figure 4 :
Position gynécologique, jambes tendues avec un risque de compression de paquet vasculonerveux fémoral et d'élongation du nerf sciatique (d'après Martin [19]).

Position gynécologique



Figure 3 :
A. Position gynécologique habituelle, cuisses fléchies à 90° sur l'abdomen, bras croisés sur l'abdomen.
B. Position (bras le long du corps), dangereuse pour les doigts lors de la mobilisation du plateau inférieur (d'après Martin [19]).

Position " frog-leg "




Figure 2 :
Position " frog-leg " (d'après McLeskey : Geriatric Anesthesiology, Baltimore, Williams and Wilkins, in press).


Positions de la table pour le décubitus dorsal




Figure 1 :
Positions de la table pour le décubitus dorsal.
A. Position habituelle.
B. Position cuisses fléchies sur le tronc.
C. Position genoux fléchis (position " chaise longue ").
D. Position membres inférieurs légèrement surélevés (d'après Martin [19]).

vendredi 24 juin 2011

Défaut de stimulation ventriculaire






Figure 11. Défaut de stimulation ventriculaire.

Stimulateur double chambre, mode DDD, fréquence de base 60 b min–1





Figure 10. Stimulateur double chambre, mode DDD, fréquence de base 60 b min–1. Tracé électrocardiographique montrant les différents aspects susceptibles d’être visualisés. As : activité auriculaire spontanée ; Vs : activité ventriculaire spontanée ; Ap : complexe auriculaire stimulé ; Vp : complexe ventriculaire stimulé.




Tête du programmateur placée sur la peau en regard du générateur





Figure 9. Tête du programmateur placée sur la peau en regard du générateur. Un voyant indique le bon positionnement.

Implantation dans la région pectorale droite d’un défibrillateur





Figure 8. Implantation dans la région pectorale droite d’un défibrillateur.
Présence de la tête du programmateur en haut et à droite.


Rapport obtenu après interrogation d’un stimulateur monochambre ventriculaire





Figure 7. Rapport obtenu après interrogation d’un stimulateur monochambre ventriculaire.
À noter le mode VVI, la fréquence d’hystérésis 40 b min–1 et l’asservissement de la fréquence désactivée (capteur arrêt).


Programmateur Saint Jude Medical™






Figure 6. Programmateur Saint Jude Medical™.

Cliché du thorax






Figure 5. Cliché du thorax. Stimulateur cardiaque double chambre implanté dans la région pectorale droite. À noter la présence de deux anciennes sondes dont une est sectionnée (fragment de sonde intracavitaire).


Carte européenne de porteur d’un stimulateur cardiaque




Figure 4. Carte européenne de porteur d’un stimulateur cardiaque.





Implantation d’une électrode épicardique






Figure 3. Implantation d’une électrode épicardique par minithoracotomie gauche et mesure des seuils.


Sonde endocardique après extraction







Figure 2. Sonde endocardique après extraction. On note le dispositif de fixation (barbes) et le tissu fibreux.


Implantation d’un stimulateur cardiaque






Figure 1. Implantation d’un stimulateur cardiaque monochambre par voie axillaire droite sous anesthésie locale.


mercredi 8 juin 2011

Méningoencéphalite herpétique : aspect d’imagerie par résonance magnétique nucléaire




Figure 6 :Méningoencéphalite herpétique : aspect d’imagerie par résonance magnétique nucléaire, séquence T1, coupe frontale. Hyposignal temporal gauche avec effet de masse sur le ventricule latéral.

Électroencéphalogramme : ondes lentes pseudopériodiques (flèches) chez un patient traité précocement (photographie de F Bruneel).


Figure 4: Électroencéphalogramme : ondes lentes pseudopériodiques (flèches) chez un patient traité précocement (photographie de F Bruneel).


Imagerie par résonance magnétique




Figure8: Imagerie par résonance magnétique (acquisition T1 après gadolinium) mettant en
évidence un abcès listérien du tronc cérébral.

Méningoencéphalite herpétique : aspect d’imagerie par résonance magnétique nucléaire, séquence T2, coupe transversale




Figure7: Méningoencéphalite herpétique : aspect d’imagerie par résonance magnétique nucléaire, séquence T2, coupe transversale. Hypersignaux temporaux bilatéraux avec nette prédominance gauche.

Méningoencéphalite herpétique : aspect d’imagerie par résonance magnétique nucléaire




Figure 6 :Méningoencéphalite herpétique : aspect d’imagerie par résonance magnétique nucléaire, séquence T1, coupe frontale. Hyposignal temporal gauche avec effet de masse sur le ventricule latéral.

Méningoencéphalite herpétique



Figure5: Méningoencéphalite herpétique : aspect tomodensitométrique. Lésion hypodense temporale droite discrètement rehaussée par le produit de contraste


Électroencéphalogramme


Figure 3: Électroencéphalogramme : exemple de tracé normal (photographie de F Bruneel).


Tracé électroencéphalographique de méningoencéphalite herpétique



Figure 2: Tracé électroencéphalographique de méningoencéphalite herpétique montrant des ondes lentes périodiques (flèches). (Photographie de F Bruneel).