vendredi 28 janvier 2011

Points d'impact potentiels d'une thérapeutique antivirus de l'immunodéficience humaine spécifique






Figure 4 :
Points d'impact potentiels d'une thérapeutique antivirus de l'immunodéficience humaine spécifique (d'après [28]).
1. Blocage de la fixation ; 2. blocage de la sortie ; 3. arrêt de la transcription inverse ; 4. blocage de la traduction ; 5. arrêt de la modification des protéines ; 6. arrêt de l'assemblage et du bourgeonnement

Modèle théorique de l'évolution des marqueurs sérologiques de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine



Figure 3 :
Modèle théorique de l'évolution des marqueurs sérologiques de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (d'après [124]).



Cycle de reproduction



Figure 2 :
Cycle de reproduction (d'après [28]).
ADN : acide désoxyribonucléique ; ARN : acide ribonucléique ; LTR : long terminal repeat.




Structure du virus de l'immunodéficience humaine


Figure 1 :
Structure du virus de l'immunodéficience humaine (d'après [28]). 1. gp 120 ; 2. gp41 ; 3. p18 ; 4. nucléocapside (p24/25) ; 5. transcriptase inverse ; 6. acide ribonucléique.


jeudi 27 janvier 2011

Schéma montrant la position idéale de la tête lors d'une intubation trachéale chez le nourrisson




Figurer 3 :
Schéma montrant la position idéale de la tête lors d'une intubation trachéale chez le nourrisson.
Noter l'utilisation du petit doigt pour abaisser la glotte dans l'axe de vision (d'après Smith [143]).

Courbes d'équilibration du rapport fraction expirée/fraction inspirée (FE/FI) obtenues chez des adultes et des nourrissons



Figure 2 :
Courbes d'équilibration du rapport fraction expirée/fraction inspirée (FE/FI) obtenues chez des adultes et des nourrissons. La fraction inspirée d'halothane est maintenue constante pendant toute la durée de l'étude (d'après Brandom et al [14]).

Modifications de la tension artérielle, du pouls et du débit cardiaque avec l'augmentation des concentrations d'halothane



Figure 1 :
Modifications de la tension artérielle, du pouls et du débit cardiaque avec l'augmentation des concentrations d'halothane (d'après Barash et al [7]). A : atropine ; I : intubation ; H : halothane.

vendredi 21 janvier 2011

Courbe pression-volume et flux doppler mitral des dysfonctions diastoliques du ventricule gauche





Figure 5: Courbe pression-volume et flux doppler mitral des dysfonctions diastoliques du ventricule gauche. Les anomalies de relaxation entraînent une augmentation du temps nécessaire à la diminution des pressions ; lors de l’examen doppler, l’onde E est diminuée avec inversion du rapport E/A, les temps de relaxation isovolumique (TRIV) et de décélération de l’onde E (TDE) augmentés. Les anomalies de la compliance se traduisent par une élévation plus rapide des pressions en diastole, une élévation de l’onde E avec diminution des TRIV et TDE.




Phases du cycle cardiaque





Figure 4: Phases du cycle cardiaque. Au sens physiologique, la relaxation est une partie de la systole ventriculaire. Cependant, en clinique, la définition retenue de la diastole est le temps entre la fermeture des valves aortiques et la fermeture de la valve mitrale.

jeudi 20 janvier 2011

Brûlure 2e degré profond





Figure 4:2e degré profond

Brûlure 2e degré superficiel








Figure 3. 2e degré superficiel.


Histologie de la peau




Figure 2. Histologie de la peau. 1. Pore ; 2. lamelles de kératine ; 3. couche cornée ; 4. couche granuleuse ; 5. corps muqueux de Malpighi ; 6. couche basale germinative (kératinocytes + mélanocytes) ; 7. corpuscules de Meissner ; 8. plexus nerveux sous-épidermique ; 9. glande sébacée ; 10. corpuscule de Pacini ; 11. poil ; 12. plexus nerveux profond ; 13. lobules graisseux ; 14. vaisseaux ; 15. glandes sudoripares ; 16. fibres de collagène ; 17. fibres de réticuline ; 18. fibres d’élastine ; 19. fibroblastes ; 20. cellules de Langerhans.

mercredi 19 janvier 2011

Diffusion des anesthésiques locaux vers le système nerveux central





Figure 14: Diffusion des anesthésiques locaux vers le système nerveux central. La gaine du nerf optique est en continuité avec les espaces sous-arachnoïdiens du tronc cérébral. La solution anesthésique peut diffuser vers le tronc cérébral et vers l’oeil controlatéral (flèches).

Compression oculaire avec un ballonnet de Honan.




Figure 13: Compression oculaire avec un ballonnet de Honan.

Anesthésie péribulbaire








Figure11: A. Vue latérale de l’orbite droite. Trajet de l’aiguille lors des anesthésies périoculaires.
Pour l’anesthésie rétrobulbaire et la ponction temporale inférieure de l’anesthésie péribulbaire, la direction initiale de l’aiguille est sensiblement identique.
Pour l’anesthésie rétrobulbaire, lorsque l’aiguille a dépassé l’équateur, sa direction est en dedans et vers le haut (c). Tandis que pour l’anesthésie péribulbaire, sa direction reste plus parallèle à la paroi inférieure de l’orbite (b).
Pour la ponction nasale supérieure, l’aiguille fait initialement un angle d’environ 20° avec le rebord supérieur de l’orbite, puis devient parallèle à la paroi supérieure de l’orbite (a).
1. Espace péribulbaire ; 2. espace rétrobulbaire.
B. Vue supérieure des orbites. La direction de l’aiguille est visualiée pour l’anesthésie rétrobulbaire (c) et pour les injections temporale inférieure (b) et nasale supérieure (a) de l’anesthésie péribulbaire.











Figure12: Anesthésie péribulbaire. A. Ponction temporale inférieure avec changement de direction de l’aiguille après traversée du septum orbitaire.
B. Ponction nasale supérieure avec changement de direction de l’aiguille après traversée du septum orbitaire








Artères et veines de l’orbite


Figure 8: Artères et veines de l’orbite.
1. Veine angulaire ; 2. veine ophtalmique supérieure ; 3. nerf optique ; 4. artère ophtalmique ; 5. artère centrale de la rétine ; 6. veine faciale.

Innervation de l’oeil et des muscles extrinsèques de l’oeil



Figure 7: Innervation de l’oeil et des muscles extrinsèques de l’oeil.
II. Nerf optique ; III. nerf moteur oculaire commun ; IV. nerf trochléaire ; V. nerf trijumeau et ganglion de Gasser ; 1. nerf ophtalmique ; 2. nerf lacrymal (branche terminale du nerf ophtalmique) ; 3. nerf nasociliaire (branche terminale du nerf ophtalmique) ; 4. nerf frontal (branche terminale du nerf ophtalmique) ; 5. nerf maxillaire supérieur ; 6. ganglion ciliaire (ou ophtalmique) ; 7. nerf ciliaire court ; 8. nerf infraorbitaire.

Voies lacrymales




Figure 6: Voies lacrymales.
1. Canal lacrymal supérieur ; 2. sac lacrymal ; 3. canal d’union ; 4. canal lacrymal inférieur ; 5. canal lacrymonasal ; 6. méat inférieur ; 7. cornet inférieur.

Capsule de Tenon, membrane fibroélastique recouvrant la portion sclérale du globe




Figure 5 :Capsule de Tenon, membrane fibroélastique recouvrant la portion sclérale du
globe.
1. De haut en bas : grand oblique, releveur de la paupière supérieure et droit supérieur ; 2. nerf optique ; 3. fenêtre au niveau de la capsule de Tenon visualisant l’espace de Tenon. Au niveau du limbe, la ligne pointillée marque la limite antérieure de la capsule de Tenon.

Segment antérieur de l’oeil avec les chambres antérieure et postérieure et les zones de sécrétion, d’écoulement et de réabsorption de l’humeur aqueuse




Figure4: Segment antérieur de l’oeil avec les chambres antérieure et postérieure et les zones de sécrétion, d’écoulement et de réabsorption de l’humeur aqueuse. a. Chambre antérieure ; b. chambre postérieure ; 1. canal de Schlemm ; 2. circulation de l’humeur aqueuse ; 3. iris ; 4. cornée ; 5. angle iridocornéen ; 6. muscle ciliaire ; 7. cristallin ; 8. ligament suspenseur du cristallin (zonule) ; 9. procès ciliaires ; 10. vaisseaux ciliaires.

Vue antérieure de l’orbite et de l’oeil droit





Figure3: Vue antérieure de l’orbite et de l’oeil droit.
1. Muscle droit supérieur (innervé par le nerf moteur oculaire commun ou oculomoteur) ; 2. muscle droit externe (innervé par le nerf moteur oculaire externe ou abducens) ; 3. muscle droit inférieur (innervé par le nerf moteur oculaire commun ou oculomoteur) ; 4. muscle petit oblique (innervé par le nerf moteur oculaire commun ou oculomoteur) ; 5. muscle grand oblique (innervé par le nerf trochléaire) ; 6. poulie du grand oblique ; 7. muscle droit interne (innervé par le nerf moteur oculaire commun ou oculomoteur).


Coupe horizontale de l’orbite droite et du globe oculaire





Figure 2:Coupe horizontale de l’orbite droite et du globe oculaire. L’axe visuel et l’axe orbitaire forment un angle de 23°. La profondeur de l’orbite est en moyenne de 40 à 50 mm.

Scanner de l’orbite gauche



Figure 1: Scanner de l’orbite gauche (coupe axiale). L’équateur du globe oculaire correspond sensiblement au rebord antéro-inférieur de l’orbite. Le nerf optique constitue l’axe de l’orbite. Le cône formé par les muscles extrinsèques de l’oeil est visualisé.

jeudi 13 janvier 2011

Fractures du massif facial. Dans la fracture de Le Fort type 1



Figure 2: Fractures du massif facial. Dans la fracture de Le Fort type 1, la ligne de fracture horizontale sépare le massif alvéolaire dentaire supérieur du maxillaire ; le segment fracturé est mobile. La fracture de Le Fort 2 est une fracture pyramidale qui s’étend de la partie moyenne de l’os nasal vers le bord inférieur de l’orbite et du zygoma.

Une fracture de la base du crâne peut y être associée. La fracture de Le Fort 3 est une dysjonction craniofaciale qui sépare la base du crâne du squelette facial


Schéma mettant en évidence la position respective des cartilages cervicaux et des cordes vocales



Figure 1 Schéma mettant en évidence la position respective des cartilages cervicaux et des cordes vocales. 1. Os hyoïde ; 2. cartilage thyroïde ; 3. membrane intercricothyroïdienne ; 4. cartilage
cricoïde ; 5. trachée ; 6. cordes vocales ; 7. épiglotte


mercredi 12 janvier 2011

Volumineux infarctus sylvien avec effet de masse et engagement




Figure 13. Volumineux infarctus sylvien avec effet de masse et engagement.
Le territoire infarci est délimité par les traits pointillés. La flèche montre les ventricules latéraux, très éloignés de la ligne médiane (engagement cérébral).


Hydrocéphalie aiguë sur hémorragie ventriculaire par rupture d’une malformation artérioveineuse





Figure 11. Hydrocéphalie aiguë sur hémorragie ventriculaire par rupture d’une malformation artérioveineuse.

Bradycardie sévère observée lors d’une reprise hémorragique d’un anévrisme cérébral en réanimation




Figure 6. Bradycardie sévère observée lors d’une reprise hémorragique d’un anévrisme cérébral en réanimation. Cette bradycardie peut expliquer la survenue souvent rapportée d’une syncope lors de l’hémorragie initiale.

Modifications du tracé Doppler lorsque la pression de perfusion cérébrale (PPC) diminue



Figure 4. Modifications du tracé Doppler lorsque la pression de perfusion cérébrale (PPC) diminue. Les vitesses diastoliques diminuent avec la PPC, en même temps que l’indice de pulsatilité (IP) augmente. Le trait pointillé représente la vitesse diastolique normale.



Angiographie avec reconstruction en trois dimensions montrant un anévrisme carotidien géant



Figure 3. Angiographie avec reconstruction en trois dimensions montrant un anévrisme carotidien géant. Ce type de reconstruction permet de bien visualiser les rapports des artères avec l’anévrisme. L’intérêt de l’angiographie par rapport à la tomodensitométrie est une meilleure résolution spatiale.

Tumeur cérébrale avec oedème périlésionnel




Figure 2. Tumeur cérébrale avec oedème périlésionnel. La flèche montre la paroi tumorale qui peut
correspondre à un abcès ou une tumeur nécrosée. L’hypodensité autour de la lésion est de l’oedème.

Volumineux hématome intracérébral avec déplacement des structures médianes




Figure 1. Volumineux hématome intracérébral avec déplacement des structures médianes.

mardi 11 janvier 2011

Imagerie par résonance magnétique (IRM) postopératoire à 3 mois d’un adénome à growth hormone (GH)






Figure 5. Imagerie par résonance magnétique (IRM) postopératoire à 3 mois d’un adénome à growth hormone (GH) (grade 2).

photos des deux voies d’abord transsphénoïdal








Figure 4: photos des deux voies d’abord transsphénoïdal : voie sous-labiale (A) et voie endoscopique transnarinaire (B).

Installation chirurgicale



Figure 3. Installation en position demi-assise.

Adénome hypophysaire







Figure 2. Classification des adénomes selon leur taille et expansion suprasellaire et imagerie par résonance magnétique (IRM) correspondantes.


Imagerie par résonance magnétique (IRM) préopératoire d’un adénome à growth hormone



Figure 1. Imagerie par résonance magnétique (IRM) préopératoire d’un adénome à growth hormone (GH) (grade 2).








lundi 10 janvier 2011

Agents adjuvants de l’anesthésie



Figure 8. Effet bénéfique (dose-dépendant) sur la PIC et la compliance cérébrale d’une dose de 0,5 g kg–1 et de 1g kg–1 de mannitol chez un patient avec HTIC. La transmission de l’onde de pouls est diminuée, et le cliché de droite montre une diminution de l’effet de masse (cliché fourni par le Pr M. Abou-Madi)


Effet bénéfique sur la PIC de l’hyperventilation volontaire lors de la préoxygénation juste avant chirurgie pour extirpation d’une tumeur cérébrale




Figure 7. Effet bénéfique sur la PIC de l’hyperventilation volontaire lors de la préoxygénation juste avant chirurgie pour extirpation d’une tumeur cérébrale. La courbe supérieure est la courbe de PIC (axe des y) commençant à 40 mmHg. La courbe inférieure montre la stabilité de la PAM (axe des y). L’axe des x représente le temps (graphique fourni par le Pr. R. Chiolero).

Différents types de tumeurs cérébrales conduisant à différentes stratégies peropératoires













Figure 6. Différents types de tumeurs cérébrales conduisant à différentes stratégies peropératoires.
A. Tumeur corticale avec un risque élevé d’épilepsie (flèche).
B. Volumineux méningiome avec HTIC et risque hémorragique (flèche).
C. Tumeur de l’angle pontocérébelleux avec risque de troubles de la déglutition postopératoires (flèche).
D. Tumeur du 3e ventricule avec hydrocéphalie et hypertension intracrânienne (flèches)




samedi 8 janvier 2011

Pneumothorax traumatique incomplet non diagnostiqué par la radiographie et mis en évidence par la tomodensitométrie (têtes de flèche)




Figure 4 :
Pneumothorax traumatique incomplet non diagnostiqué par la radiographie et mis en évidence par la tomodensitométrie (têtes de flèche). Dix à 20 % des pneumothorax traumatiques passent inaperçus sur la radiographie thoracique.