samedi 27 novembre 2010

Association aux myorelaxants non dépolarisants

Association aux myorelaxants non dépolarisants


Figure  15 :
Effet des agents anesthésiques par inhalation sur la courbe dose-effet de la dtubocurarine.
Les courbes restent parallèles mais l'ED50 (ligne hachurée) est déviée vers la gauche pour tous les halogénés par rapport au protoxyde d'azote. D'après Ali [2].



Association de produits



Association de produits


Figure  14 :
Effets de concentrations croissantes de protoxyde d'azote sur le débit cardiaque sous anesthésie stable à l'enflurane. Le remplacement de l'oxygène par le protoxyde d'azote entraîne une baisse de débit cardiaque proportionnelle à la concentration et significative dès 20 %. D'après Bennett [7].



Variations hémodynamiques induites par les agents anesthésiques par inhalation



Variations hémodynamiques induites par les agents anesthésiques 
par inhalation




Figure  13 :
Variations hémodynamiques induites par les agents anesthésiques par inhalation. Les résultats sont exprimés en pourcentage de la valeur contrôle, sauf pour la pression auriculaire droite qui est la différence en mmHg. Noter la discrétion des effets du protoxyde d'azote utilisé isolément. D'après Eger [22].





Effets des agents anesthésiques par inhalation sur la PaCO2 en ventilation spontanée

Effets des agents anesthésiques par inhalation sur la PaCO2 
en ventilation spontanée



Figure  12 :
Effets des agents anesthésiques par inhalation sur la PaCO2 en ventilation spontanée.
A. ) Produits isolés, noter l'absence d'hypercapnie avec le protoxyde d'azote, y compris à 1,5 CAM en caisson hyperbare.
B. ) Association halogéné-N2O avant l'incision ; noter la moindre hypercapnie lorsqu'une partie de la CAM est obtenue avec le protoxyde d'azote. D'après Eger [22].


Effet anesthésique de l'association d'un halogéné au protoxyde d'azote



 Effet anesthésique de l'association d'un halogéné au protoxyde d'azote




Figure  11 :
Effet anesthésique de l'association d'un halogéné au protoxyde d'azote. Les valeurs observées se distribuent le long de la diagonale (effet purement additif) alors que leur présence dans le triangle inférieur signifierait une potentialisation et dans le triangle supérieur une inhibition. D'après Hornbein [37].


Effet du changement de gaz vecteur sur les fractions alvéolaires d'halothane

Effet du changement de gaz vecteur sur les fractions alvéolaires d'halothane




Figure  10 :
Effet du changement de gaz vecteur sur les fractions alvéolaires d'halothane.
FV : fraction délivrée par le vaporisateur.
FI : fraction inspirée.
FE : fraction expirée (alvéolaire). : remplacement de l'oxygène pur dans le gaz vecteur par un mélange N2O/O2 = 60 %/40 %.
Noter que l'" effet deuxième gaz " se traduit concrètement par une réduction de la conséquence de la baisse de FV liée au changement de gaz vecteur, alors que le vaporisateur était choisi en raison de sa faible sensibilité à ce changement. D'après Deriaz [16].




Cavités aériennes closes



Cavités aériennes closes






Figure  9 :
Exemple de majoration de l'hypertension artérielle pulmonaire sous l'effet du protoxyde d'azote ( ) lors d'une embolie gazeuse chez l'homme. D'après Lienhart [52].


Hypoxie dite de " diffusion " ou " effet Fink "

Hypoxie dite de " diffusion " ou " effet Fink "






Figure  8 :
Hypoxie dite de " diffusion " ou " effet Fink ". Après inhalation d'un mélange contenant 80 % de protoxyde d'azote, la ventilation à l'air s'accompagne d'une baisse de PaO2 de 10-15 mmHg pendant environ 5 min, du fait de la dilution de l'air alvéolaire par le protoxyde d'azote quittant les tissus. D'après Sheffer [70].


Variation de la concentration alvéolaire en fin d'anesthésie

Variation de la concentration alvéolaire en fin d'anesthésie




Figure  7 :
Variation de la concentration alvéolaire en fin d'anesthésie. FA/FAo : rapport de la concentration alvéolaire à celle qui existait à l'arrêt de l'administration. Noter que la durée de l'anesthésie (240 min), affecte peu l'élimination du protoxyde d'azote et qu'il en est de même en cas de relative hypoventilation. D'après Eger [21].


Evolution de la captation tissulaire du protoxyde d'azote

Evolution de la captation tissulaire du protoxyde d'azote


Figure  6 :
Evolution de la captation tissulaire du protoxyde d'azote. Données de la littérature. D'après Eger [22].


vendredi 26 novembre 2010

Effets des variations physiologiques sur la concentration alvéolaire des agents anesthésiques par inhalation.

Effets des variations physiologiques sur la concentration alvéolaire 
des agents anesthésiques par inhalation.

Figure  5 :
Effets des variations physiologiques sur la concentration alvéolaire des agents anesthésiques par inhalation.
A. ) effet de la ventilation alvéolaire à 3-6 ou 9 l.min-1 ;
B. ) effet du débit cardiaque à 3-6 ou 9 l.min-1. Le N2O est administré à une concentration de 70 % et les halogénés à une concentration de 1,5 CAM. Noter que les factueurs d'accélération sont l'augmentation de ventilation et la baisse de débit cardiaque et que ces phénomènes sont d'autant plus marqués que l'agent est plus soluble. D'après Lienhart [53].



l'évolution des concentrations de protoxyde d'azote dans les différents groupes tissulaires

l'évolution des concentrations de protoxyde d'azote dans les différents groupes tissulaires




Figure  4 :
Modélisation de la cinétique du protoxyde d'azote administré pendant une heure à 70 %. --- fraction inspirée. ● : alvéole. : tissus richement vascularisés. tissus musculaires. tissus graisseux. ● sang veineux mêlé. D'après Deriaz [18].



Puissance anesthésique

Puissance anesthésique

Figure  3 :
Relation entre solubilité dans l'huile ( H en ml/ml) et puissance anesthésique (CAM en % de 1 atmosphère) des gaz et vapeurs. CAMhomme CAMchien CAMsouris ED50 souris. La droite représente la relation CAMhomme = 134/ H. Toutes les valeurs connues sont reportées sur le schéma. D'après Lienhart [53].


Solubilité du protoxyde d'azote dans une solution d'hémoglobine

Solubilité du protoxyde d'azote dans une solution d'hémoglobine

Figure  2 :
Solubilité du protoxyde d'azote dans une solution d'hémoglobine. Noter, à l'exception du cyclopropane, la faiblesse de la modification, ce qui signifie que la loi de Henry est applicable.
D'après Muehlbaecher [56].



Solubilité du protoxyde d'azote en fonction de la température

Solubilité du protoxyde d'azote en fonction de la température


Figure  1 :
Solubilité du protoxyde d'azote en fonction de la température. Les ronds pleins représentent toutes les valeurs de la solubilité dans l'eau ( E), relevées dans la littérature depuis 1855 jusqu'à nos jours [31, 51]. Les cercles vides représentent les principales valeurs de solubilité dans le sang ( S) à 37°C et 25°C. La ligne pointillée représente le modèle :
Noter la similitude d'évolution de E et S. D'après Lienhart [51].


Logigramme d’aide à la déclaration

Logigramme d’aide à la déclaration




Formulaire de déclaration pour la matériovigilance

Formulaire de déclaration pour la matériovigilance



Figure1: A. Formulaire de déclaration pour la matériovigilance, disponible en ligne, sur le site de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS).


mercredi 24 novembre 2010

Particularités anatomiques concernant les voies aériennes chez l'enfant

Particularités anatomiques concernant les voies aériennes
 chez l'enfant




Figure  37 :
A. Comparaison entre voies aériennes de l'adulte (à gauche) et de l'enfant (à droite) (d'après Riazi [139]). 1. Palais ; 2. langue ; 3. épiglotte ; 4. cordes vocales ; 5. angle épiglotte-glotte.
B. Orifice glottique de l'adulte (à gauche) et de l'enfant (à droite).

Algorithme décisionnel en cas de ventilation inefficace au masque

Algorithme décisionnel en cas de ventilation inefficace au masque




Figure  36 :
Algorithme décisionnel en cas de ventilation inefficace au masque facial (d'après l'Expertise collective de la SFAR sur l'intubation difficile [23]).


Algorithme décisionnel en cas de ventilation efficace au masque facial

Algorithme décisionnel en cas de ventilation efficace 
au masque facial



Figure  35 :
Algorithme décisionnel en cas de ventilation efficace au masque facial (d'après l'Expertise collective de la SFAR sur l'intubation difficile [23]).


Algorithme décisionnel général

Algorithme décisionnel général


Figure  34 :
Algorithme décisionnel général (d'après l'Expertise collective de la SFAR sur l'intubation difficile [23]).


Matériel nécessaire pour raccorder le cathéter transcricothyroïdien au circuit ventilatoire

Matériel nécessaire pour raccorder le cathéter transcricothyroïdien au circuit ventilatoire




Figure  33 :
Matériel nécessaire pour raccorder le cathéter transcricothyroïdien au circuit ventilatoire : un cathéter court 14 G, un corps de seringue de 2,5 mL, un raccord de sonde d'intubation no 7



Mise en place d'un cathéter intercricothyroïdien pour ventilation de sauvetage

Mise en place d'un cathéter intercricothyroïdien 
pour ventilation de sauvetage



Figure  32 :
Mise en place d'un cathéter intercricothyroïdien pour ventilation de sauvetage (d'après Basset et al [14]).
1-2. Ponction ; 3. orientation secondaire de l'aiguille ; 4. retrait du mandrin.


Mise en place du Combitube

Mise en place du Combitube


Figure  31 :
Mise en place du Combitube (d'après Benumof [16]).
A. Le Combitube est dans l'oesophage.
B. Le Combitube est dans la trachée.
Le trajet des gaz de ventilation est représenté par les flèches rouges.


Combitube (d'après Frass)

Combitube (d'après Frass)


Figure  30 :
Combitube (d'après Frass [66]).
1, 2. Raccords de connexion ; 3. repère de longueur ; 4. lumière trachéale ; 5. tube oesophagien ; 6. ballonnet oropharyngé ; 7. perforations ; 8. ballonnet distal.



Intubation rétrograde à l'aveugle:(d'après Sanchez)

Intubation rétrograde à l'aveugle:(d'après Sanchez)


Figure  29 :
Intubation rétrograde à l'aveugle : la sonde pénètre 1 cm sous les cordes vocales avant de buter sur le guide à son point d'entrée au niveau cervical (d'après Sanchez [147]).
1. Épiglotte ; 2. os hyoïde ; 3. cartilage thyroïde ; 4. cordes vocales.



Intubation rétrograde à l'aveugle

Intubation rétrograde à l'aveugle


Figure  28 :
Intubation rétrograde à l'aveugle (d'après Barriot et al [13]).
A. Ponction de la membrane intercricothyroïdienne.
B. Introduction du guide métallique.
C. Introduction de la sonde d'intubation.




Intubation sous fibroscopie

Intubation sous fibroscopie



Figure  27 :
A. Canule d'intubation sous fibroscope d'Ovassapian [54]).
B. Intubation avec fibroscope introduit au travers de la canule.


Signe du « prieur »

Signe du « prieur »


Figure  26 :
Signe du « prieur ».
A. sujet normal.
B. Sujet diabétique.


Angle de Bellhouse et Doré

Angle de Bellhouse et Doré



Figure  25 :
Angle de Bellhouse et Doré.
Étude de la course du maxillaire supérieur, la tête passant de la position neutre, regard à l'horizon, à l'extension complète.
Stade 1 : mobilite supérieure à 35°.
Stade 2 : réduction de cette mobilité de un tiers.
Stade 3 : réduction des deux tiers.
Stade 4 : mobilité nulle.
Les stades 3 et 4 sont prédictifs d'intubation difficile (d'après Bellhouse et Doré [15]).


Distance thyromentonnière


Distance thyromentonnière



Figure  24 :
Distance thyromentonnière : une distance inférieure à 6 cm présage d'une intubation difficile.
1 : menton osseux ; 2 : échancrure du cartilage thyroïde.


Classes de Mallampati

Classes de Mallampati


Figure  23 :
A, B, C, D. Classes de Mallampati [110].
A. Classe 1 : visibilité du palais mou, de la luette, des piliers et de la paroi postérieure du pharynx.
B. Classe 2 : visibilité du palais mou, de la luette et de la paroi postérieure du pharynx.
C. Classe 3 : visibilité du palais mou et de la base de la luette.
D. Classe 4 : le palais mou est invisible.


Les classes 3 et 4 sont prédicitives d'intubation difficile.
E, F, G, H. Grades laryngoscopiques de Cormack et Lehane [43].
E. Grade 1 : la glotte est entièrement exposée.
F. Grade 2 : la glotte est partiellement exposée ; la commissure antérieure n'est pas visualisée.
G. Grade 3 : la glotte ne peut être exposée ; seule est visualisée l'épiglotte.
H. Grade 4 : même l'épiglotte est inexposée.
Les grades 3 et 4 sont considérés comme une laryngoscopie difficile (d'après Samsoon et Young
[146]).


Capnogramme normal

Capnogramme normal

Figure  22 :
Capnogramme normal : courbe d'expiration du gaz carbonique (CO2).
AB : plateau alvéolaire.
B : CO2 en fin d'expiration.



Intubation endotrachéale

Intubation endotrachéale


Figure  21 :
Intubation endotrachéale par voie orale avec lame courbe de Macintosh (A, B, C, D) et droite de Miller (E, F, G, H) (d'après Gillardeau et al [70].
1. Luette ; 2. épiglotte ; 3. orifice glottique ; 4. corde vocale.


Intubation orotrachéale

Intubation orotrachéale






Figure 20 :


A. Les trois axes (buccal, pharyngé, laryngé) (d'après Murrin [121]).
B. Alignement de l'axe laryngé et de l'axe pharyngé.
C. Alignement des trois axes.

Sonde d'intubation à oeil de Murphy

Sonde d'intubation à oeil de Murphy



Figure 19 :
Sonde d'intubation à oeil de Murphy.
1. Ballonnet témoin ; 2. valve de gonflage ; 3. extrémité patient (distale) ; 4. longueur du ballonnet ; 5. angle du biseau ; 6. raccord ; 7. extrémité machine (proximale) ; 8. graduations de longueur ; 9. canal de gonflage ; 10. angle de courbure ; 11. repère de positionnemen


Lames de Macintosh et de Miller

Lames de Macintosh (A) et de Miller (B)



Figure  18 :
Lames de Macintosh (A) et de Miller (B) (d'après Dorsch JA et Dorsch SE [55]).
1. Extrémité proximale ; 2. collerette ; 3. spatule ; 4. douille de l'ampoule ; 5. ampoule ; 6. pointe ; 7. extrémité distale ; 8. rebord ; 9. base ; 10. contact électrique ; 11. longueur utilisable ; 12. talon.


Laryngoscope avec son manche et sa lame

Laryngoscope avec son manche et sa lame

Figure  17 :
Laryngoscope avec son manche et sa lame.
A. Modèle à piston optique et ampoule interne.
B. Modèle classique à ampoule externe.



Masque laryngé et sa mise en place.

 Masque laryngé et sa mise en place








Figure  16 :
A, B, C. Masque laryngé et sa mise en place.

Serre-tête

Serre-tête




Figure  15 :Serre-tête.



Masque facial

Masque facial


Figure 14 : Masque facial


Canule nasopharyngée

Canule nasopharyngée



Figure 12: Canule nasopharyngée

Canule nasopharyngée en place
Figure  13 :
Canule nasopharyngée en place (d'après Dorsch JA et Dorsch SE [54]).



Mise en place d'une canule oropharyngée

Mise en place d'une canule oropharyngée


Figure  11 :
Canule oropharyngée en place (d'après Dorsch JA et Dorsch SE [54]).


Canule oropharyngée

Canule oropharyngée


Figure 10: Canule oropharyngée