mercredi 10 novembre 2010

Organisation spatiale théorique du champ excitateur cutané

Organisation spatiale théorique du champ excitateur cutané


    Figure 13: Organisation spatiale théorique du champ excitateur cutané d’un neurone à convergence. A. Un stimulus nociceptif appliqué sur une quelconque partie de ce champ excitateur (représenté en bleu) active le neurone mais le centre (foncé) est, de plus, sensible aux stimulus non nociceptifs (conditions expérimentales standards : enregistrement d’un seul neurone). B. En réalité, les champs excitateurs se recouvrent les uns les autres de telle sorte qu’un stimulus nociceptif active non seulement le centre d’un certain nombre de champs récepteurs (représenté ici par la surface 1) mais également les marges de beaucoup d’autres (représentés ici par les surfaces 2, 3 et 4). Appliqué sur une surface donnée (ici au centre du champ 1), un stimulus nociceptif activera donc de nombreux neurones à convergence (ici 4) alors qu’un stimulus non nociceptif en activera beaucoup moins (ici 1).